L’étude EPI-CT, à laquelle l’IRSN a contribué en partenariat avec la SFIPP (Société Francophone d’Imagerie Pédiatrique et Prénatale) et la SFR (Société Française de Radiologie), montre que, même si ce risque est faible au regard du bénéfice diagnostique, il existe des excès de risque de développer une hémopathie maligne après des examens tomodensitométriques (scanners) chez l’enfant et le jeune adulte. Les résultats de cette étude viennent de paraitre dans la revue scientifique Nature Medicine.