L’IRSN animera notamment un atelier participatif sur la mesure citoyenne en vue de la co-évaluation des risques radiologiques, à l'aide de capteurs OpenRadiation.
Après trois ans de travail de modernisation et de simplification du système d’information de la surveillance de l’exposition aux rayonnements ionisants (SISERI) des travailleurs, le ministère chargé du travail et l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) mettent en ligne le SISERI 2.
Le 16 juin 2023 à 18h38 (16h38 TU), un séisme de magnitude de moment (Mw) 4,9 (estimations Institut de Physique du Globe et Observatoire de la Côte d’Azur) magnitude locale entre 5,3 (Site national d’information sur la sismicité de la France - Rénass) et 5,8 (CEA LDG) s’est produit à 24 km au Sud-Ouest de Niort et à 35 km au Nord-Est de la Rochelle.
Pour la première fois, la séance plénière du Haut Comité à la Transparence et l’Information sur la Sûreté Nucléaire (HCTISN) s’est tenue hors les murs du Ministère de la Transition Ecologique, et a été organisée à l’IRSN le 16 juin.
L’ « European Technical Safety Organisations Network », ETSON, réuni en assemblée générale le 14 juin, a élu J-C Niel, Directeur Général de l’IRSN, au poste de Président, pour un mandat de 3 ans.
Piloté par l’IRSN, le programme international CABRI (CIP) étudie, sous l’égide de l’Agence pour l’énergie nucléaire de l’OCDE, le comportement des crayons de combustible nucléaire dans les réacteurs à eau sous pression lors d’un transitoire accidentel d’excursion de puissance.
L’IRSN publie son septième bilan triennal portant sur l’analyse des données dosimétriques transmises sur la période 2019-2021 par les professionnels de l’imagerie médicale en application de la réglementation relative aux niveaux de référence diagnostiques (NRD).
Le barrage de Kakhovka, situé en aval de la centrale de Zaporizhzhya, a été fortement endommagé dans la nuit du 5 au 6 juin 2023, ce qui va conduire à une baisse importante du niveau du Dniepr, en amont du barrage.
En mai 2023, des dépôts de munitions, comprenant potentiellement de l’uranium appauvri, ont été atteints par des bombardements en Ukraine. Cela a conduit à s’interroger sur la dispersion éventuelle d’uranium dans l’atmosphère. Les analyses effectuées en Europe n’ont pas révélé d’augmentation de la concentration d’uranium dans l’air.